ARTS MARTIAUX amérindiens

Publié par Yantra

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Il apparut très vite aux premiers Européens que leurs tactiques militaires avaient peu d'efficacité dans le cadre nord-américain. Ici, pas de champ de bataille à aire ouverte, pas de déplacement en rangée. La guerre se faisait par des raids en forêts ou des descentes de rivières en canot...

Okichitaw, art martial canadien

L'okichitaw, art martial canadien (voir plus bas)

La milice canadienne adopte vite les techniques martiales amérindiennes. Elle peut attaquer des villages dans le Nord des États-Unis par des expéditions rapides en raquettes et revenir à son lieu de départ de Québec, Trois-Rivières ou Montréal.

Québec - Montréal (et Ottawa)

Les armes de base étaient le fusil, le poignard et le tomahawk. Cette dernière arme avait la particularité d’avoir un vol régulier, avant de retomber très vite sur l'ennemi.

Un tomahawk du début du XIXe siècle.jpg

Un tomahawk du début du XIXe siècle

Le nom "Tomahawk" vient de l'algonquin oto:mahùk qui signifie "frapper" ou "renverser". Lorsque les Amérindiens déterraient la fameuse "hache de guerre", elle se retrouvait plantée dans un poteau jusqu'à la fin de la guerre. (Wikipédia)

Hachette de forme canadienne

Hachette de forme canadienne (Wikipédia

L’entraînement se concentrait sur l’art de "la petite guerre"

Le combat au corps à corps, la précision du tir à longue distance, la mobilité en terrains difficiles, principalement l’utilisation de la course tactique en forêt, ces méthodes étaient donc très différentes de l’entraînement d’un bataillon traditionnel. L'art de la guerre indienne appelée "petite guerre" est aujourd'hui modernisé sous le terme de "guérilla". Ce sont les Iroquois qui développèrent, en 1651-53, ce système de combat efficace.

Doc, voir

 

Les Iroquois n'ayant laissé aucun manuel, le Français Armand-François de La Croix (marquis de Castries), codifie les techniques amérindiennes de l'art de la guerre dans son : Traité de la petite guerre pour les compagnies franches, dans lequel on voit leur utilité, la différence de leur service d’avec celui des autres corps, la manière la plus avantageuse de les conduire, de les équiper, de les commander et de les discipliner et les ruses de guerre qui leur sont propres (Paris, 1759)

Doc, voir

 

Un texte que le Chevalier de Folard * aurait écrit sur la petite guerre n’a jamais été retrouvé.

* Doc, voir plus bas note 1.

Napoléon Bonaparte fit usage des "tireurs à longue distance" (tireurs d'élite ou sniper) en s'inspirant des techniques des révolutionnaires américains qui eux-mêmes s'inspiraient des méthodes de combat au fusil des Amérindiens.

Wikipédia (Histoire des Arts martiaux) [archive]

 

L'okichitaw

L'okichitaw est un art martial canadien qui s'inspire des techniques de combat des Premières Nations Cris des plaines. Il associe une activité physique et des pratiques empreintes de spiritualité, et est aujourd'hui devenu un art martial unique.

Origines

Bien que basé sur des techniques et des traditions anciennes, les méthodes d'okichitaw enseignées aujourd'hui ont été développées dans les années 1990 par George J. Lépine. Okimahkan Kiskinahumakew Lepine (⇒ "instructeur en chef" Lépine), originaire du Manitoba, est un Cris des plaines élevé dans la pure tradition de la chasse, du pistage et du maniement des armes.

Lépine a commencé à étudier les arts martiaux à l'âge de 13 ans et en plus de 35 ans, il a acquis des compétences en lutte traditionnelle, judo, taekwondo et hapkido (2 arts martiaux coréens *), lancer du tomahawk, et combats au corps à corps traditionnels canadiens.

* Voir aussi Sonmudo (Corée, à la croisée des arts martiaux et du Yoga)

Okichitaw - YouTube 1er avril 2017

Cette vidéo est privée :-(

[en] [https://www.youtube.com/watch?v=tybeB3r8vGI]

Fruit de cette connaissance approfondie, et de ces recherches historiques méticuleuses, l'okichitaw était né.

Philosophie

L'art de l'okichitaw se fonde sur des techniques de combat bien établies, antiques, violentes, et bien que dans une certaine mesure ces techniques peuvent être utilisées par l'élève, elles ne sont véritablement enseignées qu'en dernier recours lors d'un combat.

À la place, l'élève découvre un univers complexe, à la découverte de soi et à la recherche d'un épanouissement personnel, en explorant ses peurs et ses limites.

L'étudiant en okichitaw est un guerrier de la paix.

Les 4 directions

Chez les Autochtones canadiens, les quatre cardinaux de la boussole ont une importance très singulière. Dans la pratique de l'okichitaw, ils sont comme suit :

  1. L'Est (Réponse) : L'équilibre, la créativité et la confiance. L'Est a une influence sur l'identification d'un adversaire et le développement d'une position d'attaque.
  2. Le Sud (Engagement) : La mise au point, la force et la réussite. Le Sud influe sur l'opposition avec l'adversaire.
  3. Le Nord (Contrôle) : L'énergie, le courage et la connaissance. Le Nord influe sur l'autorité d'un adversaire avec force.
  4. L'Ouest (Victoire) : Le choix, le défi et la preuve. L'Ouest a une influence sur la victoire finale contre un adversaire.

Enseignements ancestraux

La sagesse, l'amour, le respect, le courage, l'honnêteté, l'humilité et la vérité sont les enseignements ancestraux auxquels chaque élève est censé adhérer lors de sa formation et censé appliquer dans sa vie quotidienne. Ces vertus ont été regroupées dans un code de résolution non-violente des conflits.

Armes et techniques

Une grande partie de la formation de l'okichitaw est basée sur les combats au corps à corps, centrée autour de la frappe et des techniques de lutte, avec des armes fréquemment utilisées. Ces armes sont le tomahawk, les lances, les poignards, et l'arme okichitaw de choix, la massue de guerre.

Doc, voir plus bas note 2.

Quels équipement / compétences ?  

  • Pour commencer,vous n'aurez besoin que de vous-même. Au fur et à mesure, vous pourrez vous sentir plus à l'aise dans une tenue traditionnelle, mais cela n'est pas indispensable.
  • Toute personne qui sait correctement se mouvoir peut apprécier l'okichitaw. Tous les groupes d'âge et tous les niveaux d'aptitude sont généralement acceptés.
  • Les seules compétences dont vous avez réellement besoin sont la capacité à écouter, à suivre des instructions, et à vous détendre.
  • Grâce à ces compétences, votre pratique de l'okichitaw devrait s'avérer positive.

__________

Trucs pratiques [archive]

Voir aussi MMArtial [en cache] [archive]

Des vidéos (dommage qu'elles soient en anglais !)

Gunstock War Club - Notini-Mistik - Throw Okichitaw (03 septembre 2012)

[https://www.youtube.com/watch?v=XC1r3pUbG9M] [en]

Okichitaw - Brooklin Workshop (04 avril 2017)

[https://www.youtube.com/watch?v=cFggHk0u714] [en]

 

Le Huka-huka, la lutte du Mato Grosso

... dans ce territoire des Kamayurás (Amérindiens), sur les rives du fleuve Xingu, dans l’État du Mato Grosso, la lutte est une chose sérieuse...

Huka huka, lutte locale au Mato Grosso

ARTS MARTIAUX. Un champion d’"ultimate fighting" chez les Indiens (26/07/2012)

[https://www.courrierinternational.com/article/2012/07/26/un-champion-d-ultimate-fighting-chez-les-indiens] [archive]

Vidéo de démonstration : Xingu - Huka-Huka (29 avril 2010)

[https://www.youtube.com/watch?v=a9P82STWwDI] [pt] du [BR] [archive]

 

D'autres "Arts martiaux américains"

 

Le bakom

Le bakom vient du Pérou et a été créé dans les années 1980 par Roberto Puch Bezada, un ex-commando de l’armée péruvienne.

Cet "Art martial" n'est pas recommandable, mais il existe. Il faut donc le mentionner.

Doc, voir plus bas note 3.

 

La capoeira

Au Brésil, les esclaves venus d'Afrique (Angola) pratiquent des danses rituelles polémiques désignées sous le nom de "capoera". Ces danses seront codifiées au début du XXe siècle.

Mestre Bimba (1899-1974) réintroduit la capoeira au Brésil en lui donnant un nouveau nom (capoeira régional de Bahia) - car la capoeira était encore interdite au Brésil - et grâce à ses connaissances en arts martiaux, il y incorpora d'autres arts martiaux tels que le karaté et le Jiu-Jutsu.

Mestre Pastinha (1889-1981) restructure la "capoera Angola", qui est plus basée sur la capoeira respective, autour d'un jeu aux positions très basses. La "capoera" est ainsi devenue un mélange de lutte, de danse, de jeu, d'art et de culture.

Pour beaucoup de "capoeristes", elle est un symbole de solidarité réunissant l'Afrique, l'Amérique et la fierté des hommes libres.

Alors que cet art fut celui des esclaves, puis celui des Brésiliens, ce n'est qu'en 1931 que la "capoera" fut officiellement autorisée.

Wikipédia (Histoire des Arts martiaux) [archive]

Voit aussi Signification de noms d'arts martiaux (Yantra)

 

Le djokan

“Djok” est un mot d’origine africaine qui signifie “éveillé”, “robuste”, “en bonne santé”.

Le djokan est un Art martial amazonien qui nous vient d’Amérique du Sud, plus précisément de la Guyane Française, créé le 03 Septembre 2010 par Yannick Théolade dit « Gran Dôkô Sawani Makan »

Cet Art veut regrouper les pratiques guerrières et traditions des trois principaux peuples guyanais : Amérindiens, Créole et Bushinenge.

Tout avait commencé en 2010. Yannick Théolade mettait au point des techniques, des enchaînements de mouvements, un vocabulaire (le créole forme la base de la “ langue du djokan”), une manière de se vêtir, un rituel pour codifier ce qui allait devenir le djokan...

Djokan - Festival des Art Martiaux Bercy 2012

[https://www.youtube.com/watch?v=4rEeEt-A4aY]

On ne parle pas de grade dans le Djokan mais de niveaux répartie en 5 paliers, chacun d’eux associé à un élément. Le but profond étant de renforcer le lien entre l'homme et la nature et lui offrir un équilibre de vie au delà de simple technique martial à apprendre par cœur.

L'officialisation de la discipline pour Yannick était l'enjeu majeur et certainement le chemin le plus long et difficile à parcourir. Il aura fallu rencontrer le senpai William Schneider, soke de la FIAMT, fédération ayant reconnu le Djokan du Gran Dôkô à sa juste valeur.

C'est en mémoire des grands peuples guerriers ayant combattu dans la région amazonienne que le Djokan est né. Il prend le chemin aujourd'hui du rassemblement des peuples et porte la lourde tâche de transmettre les valeurs du vivre ensemble.

Présent aujourd'hui dans 15 pays, la volonté est de continuer à se faire connaître avec de nouveaux ambassadeurs en plus de ceux déjà présent aux Antilles ou en Afrique par exemple venu aujourd'hui pour la remise du titre de noblesse par le président de la collectivité :

L'Art martial amazonien toujours plus loin (05 juillet 2018)

[https://www.youtube.com/watch?v=BPCduKptu9o]

Voir LE DJOKAN (Site officiel)

Voir aussi Djokan : un livre pédagogique illustré (YouTube 26 mars 2019)

 

Le Suwa, un Art qui était en voie de disparition

Le Suwala lutte traditionnelle guyanaise pratiquée il y a encore quelques décennies [avant les années 2000] par les bushinengués, notamment les Aluku et les Djuka, était sur le point de disparaître.

Cornelia Abissoina, mère d'un lutteur et lutteuse/"coach" elle-même, avait autrefois constitué un groupe dénommé : « c’est en courant que nous sommes arrivés ici », en mémoire de la course pour se libérer de l’esclavage, et plus récemment pour se sauver de la guerre civile surinamaise.

Paul Nehmia pratiquant aussi de lutte sénégalaise connaît le Suwa par son père et son grand-père.

« Il faut savoir, les ancêtres, à la base, ils faisaient cela pour s'amuser. C'était comme un concours »

C’est ainsi que Paul a été repéré par Yannick Théolade, fondateur du Djokan (voir ci-dessus) qui constituait une équipe de lutteurs, des suwamans, pour faire redécouvrir le Suwa. Ces jeunes viennent de Maripasoula, Grand-SantiSaint-Laurent ou Apatou.

L’équipe s’est envolée ce lundi [15 avril 2019] pour la Martinique (sur la place du marché du Lamentin), où elle participa au « Sanmedi Gloria », le grand rendez-vous des luttes traditionnelles, avec des lutteurs venus du monde entier.

Avant de partir, l'équipe de suwamans est venue présenter le Suwa du fleuve :

Le Suwa, l'Art martial du fleuve (14 avril 2019)

[https://www.youtube.com/watch?v=A9Z1qx4nvYs]

Guyane la 1ère

 

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Notes

 

Note 1.

Végèce (Publius Flavius Vegetius Renatus) est un écrivain romain de la fin du IVe et du début du Ve siècle qui a laissé 2 livres dont le succès ne s'est jamais démenti tout au long du Moyen Âge et de l'époque moderne l'un sur la tactique militaire romaine, Epitoma rei militaris (ou De re militari), l'autre sur la médecine vétérinaire, Digesta artis mulomedicinæ (ou plus simplement Mulomedicina).

Il n'est ni militaire ni médecin et n'a guère apporté d'idées nouvelles dans les matières traitées. Mais c'est un compilateur brillant qui s'informe aux meilleures sources, rassemble les données en un plan cohérent et les expose dans un langage simple et direct. (Wikipédia)

 

Note 2.

Quelques variétés de "bâtons" – par régions (en vert, Yantra)

"Le type de bois idéal pour les différents bâtons est le rotin, et chez nous, tous les bois durs, acacias, frêne, prunelier...". Lu dans Canne (France, Europe)

Voir aussi Le cornouiller mâle (Lexique "sportif") – pour sa souplesse, un bois concurrent de l'if.

À noter. Un gourdin (ou massue) est une des armes les plus primitives, arme dite de mêlée ou de contact qui semble avoir été universellement utilisée par l'homme. Dans sa première édition (1694), le Dictionnaire de l'Académie française (p.528) le définit comme suit : "GOURDIN. sub. masc. Gros baston court. Des coups de gourdin. s'il me fasche, je luy donneray du gourdin." (Wikipédia)

Brésil

  • Lele ("bâton en bois" en dialecte africain) - Actuellement le maculele est dansé par les capoeiristes, chacun avec un bâton à la main voire un grand couteau...

Chine

  • Bâton - Les anciens Chinois nommaient le bâton "Mère de toutes les armes"... Il était, en effet, considéré à la fois comme un outil, une arme et un instrument symbolique de pouvoir... (Oceanet) PDF

Égypte

  • Tahtib, "l’art du bâton" - Lors d’un combat, les deux adversaires doivent avoir en leur possession un bâton appelé Asa, d’environ 1m30. Il doit être souple et en fibre de rotin pour éviter les blessures.

France

Inde

- Kerala, région du sud de l'Inde

Voir aussi Animaux martiaux

Kolthari :

  • Kettukari ou Vaddi (bâton d'environ 1,5 m)
  • Muchan (bâton d'environ 60 cm épais d'environ 3 cm à un bout et d'environ 1,5 cm de l'autre)
  • Otta (bâton incurvé de moins de 60 cm)

- Pendjab, nord-ouest de l’Inde

  • Gatka - Style de combat avec des bâtons en bois destinés à simuler des épées. Le nom Punjabi gatka fait référence à la baguette de bois utilisée. Le mot provient d'un diminutif du sanskrit gada "masse".

Italie

Japon

  • (bâton très long)
  • Hanbō (bâton d'environ 90 cm assimilé à la canne de marche)
  • (bâton moyen)
  • Tambo (bâton court)

Autres dérivés

Différentes armes peuvent être considérées comme des variantes ou des évolutions du gourdin, adaptées à leurs utilisateurs (pratiquants d'arts martiaux, policiers...) :

  • La batte de baseball est parfois utilisée en tant qu'arme.
  • Le bokken est un sabre de bois d’entraînement.
  • L'éventail entre bâton (fermé) et arme blanche (± ouvert), on l’utilise pour frapper, trancher ou piquer.
  • Le fléau d'armes est formé de deux ou trois bâtons reliés entre eux par une attache souple.
  • Le fouet peut aussi être constitué d'une simple canne, souvent fabriquée à base de rotin.
  • La masse d'armes est une évolution du gourdin.
  • La matraque est essentiellement utilisée par les forces de l'ordre.
  • Le parapluie de défense est un des outils les plus efficaces en cas d'agression à l'arme blanche.
  • Le tonfa est une arme en bois ou en polymère, selon qu'elle est utilisée en art martial ou par la police.
  • La yari est une lance japonaise d'environ 2,5 m (4 m pour certaines) à hampe et lame droite.

Une "massue" peut aussi signifier – entre autres

 

Note 3.

Peu recommandable... :-(

Créé dans les années 1980 au Pérou, le bakom est un mélange de plusieurs arts martiaux comme le ju-jitsu ou la lutte mais aussi de la boxe. L’utilisation de petites armes est autorisée.

Le but de cet Art martial est simple, il faut tuer ou blesser son adversaire et infliger beaucoup de dégâts en un minimum de temps. L’effet de surprise est très important car un combattant peut sortir une arme à tout moment pour neutraliser son adversaire.

C’est donc un art vicieux, car celui qui est en train de perdre un combat, peut à tout moment sortir une arme pour blesser gravement ou tuer son adversaire.

La douleur est essentielle durant les combats de Bakom, il faut que l’adversaire éprouve un maximum de douleur. Beaucoup de morts sont à déplorer à la suite de ces combats. Vous l'aurez compris, il ne peut pas y avoir de compétition.

N’importe quelle technique peut être utilisée pour mettre hors d’état de nuire son concurrent. Des étranglements, des frappes puissantes dans les organes vitaux, casser les os des bras ou des jambes. Bref c’est un art qui ressemble à une bagarre de rue vraiment sauvage et bestiale.

MMArtial [en cache] [archive] [retour]

Voir Entre sport et violence

Voir aussi Close combat

 

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Documentation

Amérindiens

Autres activités physiques d'origine amérindienne

Autres activités physiques diverses

Des noms

Liens externes sur les arts martiaux

Huka huka, esthétisme !

Huka huka... esthétisme !

  • 7 arts martiaux méconnus (YouTube 10 septembre 2015)
  • Arts martiaux que vous ne connaissez peut-être pas (MMArtial)
    [https://www.mmartial.com/blog/2017/06/11/les-arts-martiaux-que-vous-ne-connaissez-peut-etre-pas] [archive]
  • Arts martiaux que vous ne connaissez peut-être pas (Partie 2) (MMArtial)
    [https://www.mmartial.com/blog/2018/04/21/les-arts-martiaux-que-vous-ne-connaissez-peut-etre-pas-partie-2] [archive]
  • Coulisses d'une réserve Amérindienne (YouTube 09 avril 2017)
  • Lexique de la gymnastique (Wikipédia)
  • Philosophie des Arts martiaux
    [https://jmgue.pagesperso-orange.fr/pagehtml/armarphilo.htm] [archive]

 

 

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