☯ La zone de confort
Page finalisée début mai 2020

La zone de confort
Comment en sortir ?
Les trois zones
Lorsque l'on souhaite progresser, développer ses dons, son potentiel et sa créativité, il est nécessaire de quitter sa zone de confort. Surtout que c'est stimulant et finalement plaisant. C'est une bonne manière d'accueillir les changements de vie. Il faut pour cela croire en ses capacités, travailler sur soi, aller vers sa créativité, savoir gérer ses peurs, accepter ses défaites s'il y a lieu (c'est de ses erreurs que l'on apprend vraiment), ne pas perdre de vue ses objectifs, garder confiance, persévérer, bref : soyez heureux de vivre.Si votre zone de confort est devenue routinière et inconfortable, c'est peut-être le moment de changer quelque chose (*). Si vous n'y arrivez pas, demandez vous quels sont les bénéfices secondaires à rester dans une situation si peu satisfaisante.
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Voir
(*) Changer la trajectoire de votre vie
Bénéfices secondaires
Les bénéfices secondaires de la maladie
Créativité
Ennui
Les vertus spirituelles de l’ennui (Croire)
Peur
La peur (Atelier-naturo-89 22/06/2019)
Les peurs (Atelier-naturo-89 03/02/2020)
Une technique pour chasser les peurs
Un des meilleurs critères dans une posture est la notion de patience :
Pouvez-vous attendre sans impatience la fin des respirations ?
Vous sentez-vous bien ?
Vu dans Conseils du Shiatsu
Votre zone de confort vous empêche-t-elle d’atteindre vos rêves ?
Blog de Question de Vie [archive sans la vidéo]
Avec cette vidéo ludique et pédagogique, vous comprendrez mieux le principe de "Zone de Confort", vous verrez comment pouvoir en sortir et quels sont les autres "Zones" qui existent autour de celle-ci.
Vous comprendrez pourquoi il est souvent difficile d'en sortir et quels sont les choses extraordinaires qui peuvent arriver lorsque nous quittons cette "Zone"...
Zone de confort : Osez en sortir (VF)
[https://youtu.be/wZqegnIq-Ao] YouTube 21 août 2015
En yoga, le « temps du confort » est la durée que l’on peut confortablement tenir dans une posture. Il change d’un individu à l’autre selon sa forme physique, l'âge et la volonté.
Voir Micro-mouvements et positions antalgiques
Voir aussi Confort - La limite (Lexique "sportif")
Syndrome de l’imposteur : voici comment s’en débarrasser
Harvard Business Review France HBR (30/04/2020) [PDF] [www.hbrfrance.fr]
La clé : ne pas se focaliser sur ses limites et ses erreurs mais sur ce que l’on peut retirer de ces périodes où l’on sort de sa zone de confort.
L’une des principales raisons qui nous empêche de sortir de notre zone de confort est la crainte d’être pris pour un "frimeur", de ne pas être à la hauteur, de ne pas être assez qualifié pour s’attaquer au sujet que l’on s’est choisi, quel qu’il soit. Cette peur que nombre d’entre nous connaissent bien porte un nom : le syndrome de l’imposteur.
Résumé de l'article... qui aide à combattre le syndrome de l’imposteur.
Premier conseil : Résoudre des problèmes apparemment insolubles. Prenez conscience qu’être néophyte dans un domaine donné présente des avantages. Quand l’on n’a pas encore été formaté par les idées reçues propres à une profession, on peut poser des questions ou aborder un problème de manière inédite. Par exemple (parmi d'autres) certaines des meilleures idées de recherche l’ont été par des étudiants de premier cycle qui avaient peu d’expérience et qui, en portant un regard neuf sur les choses, ouvraient de nouvelles perspectives... La prochaine fois que vous ne vous sentirez pas à votre place, rappelez-vous qu’en tant qu’outsider, vous êtes susceptible d’avoir un meilleur regard critique sur une situation donnée.
Un deuxième conseil : Miser sur l'apprentissage, se concentrer davantage sur ce que l’on apprend que sur l’exécution en tant que telle. D’après la psychologue Carol Dweck, nous serions en réalité capables de contrôler les sentiments que suscite en nous ce syndrome. Quand l’on se focalise avant tout sur l’exécution, ce que font souvent ceux qui souffrent du syndrome de l’imposteur, on a tendance à considérer son sentiment d’insuffisance ou les erreurs que l’on commet comme autant de preuves de ses limites sous-jacentes. Cet état d’esprit ne fait qu’alimenter les inquiétudes que l’on peut avoir de ne pas être à la hauteur du poste que l’on occupe. A contrario, si l’on se concentre sur l’apprentissage, l’on perçoit alors ses limites de manière très différente. Les erreurs commises sont vues comme faisant inévitablement partie d’un processus didactique plutôt que comme la preuve de défauts rédhibitoires.
Troisième et dernier conseil : Comprendre le pouvoir de la perspective *. Ceux qui éprouvent le syndrome de l’imposteur se croient souvent seuls dans ce cas, alors que c’est faux. Tout le monde partage cette crainte "d’être le seul à m’inquiéter d’avoir à faire la conversation sur tout et sur rien avec des étrangers". Selon une enquête récente menée par Vantage Hill Partners, dans tous les pays, la peur numéro un des dirigeants est d’être considéré comme incompétents. Si vous avez l’impression d’être un imposteur, il y a de grandes chances pour que d’autres placés dans une situation similaire ressentent la même chose que vous. Ou comme l’a résumé un jour l’actrice, scénariste, productrice et humoriste américaine Tina Fey : "Comme j’ai conscience que quasiment tout le monde est un imposteur, j’essaie de ne pas trop en souffrir moi-même".
* Voir Perspective avant argument
Ce sera peut-être difficile, mais il est possible de venir à bout de ce syndrome – vous n’êtes ni impuissant ni seul face à lui. La prochaine fois que vous vous retrouverez dans une situation qui vous sort de votre zone de confort, ne vous focalisez pas que sur vos ratages. Dites-vous plutôt que c’est l’occasion d’apprendre de vos erreurs et de poser un regard neuf, que les autres n’auront peut-être pas.
En contre-partie, voir Notre peur la plus profonde
Documentation
Test psychologique pour détecter le syndrome de l’imposteur (DGS)
Syndrome de l’imposteur, perte de temps, burnout et perte de productivité
L’Asana, plate-forme pour la gestion du travail d'équipe, révèle que "un quart (26%) des échéances sont manquées chaque semaine en raison d’attentes irréalistes et de processus flous" et que "les équipes passent 30% de temps de plus que l’an passé sur des tâches ayant déjà été accomplies par d’autres". De plus, 62% des travailleurs ont souffert du syndrome de l’imposteur qui est d’ailleurs plus fréquent "chez les parents avec des enfants à la maison ou les aidants (67%) que chez les personnes sans enfant (57%)"
Radins (15/01/2021)
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Voir
(liste non exhaustive !)
- Apaiser les troubles émotifs
- Bénéfices tirés des maladies
- Bonheur ICI, maintenant (PDF)
- De l'angoisse aux blessures affectives (PDF)
- Des habitudes qui limitent
- Idées guérisseuses 1
- Idées guérisseuses 2 (PDF)
- Intelligence
- J’allais vraiment mal
- L'optimisme s'entretient
- Lâcher-prise et créativité
- Lâcher-prise et HE de pruche
- Lâcher-prise selon Dr Dufour
- Le nœud gordien
- Le principe de Peter (Vocabulaire du Monde du travail, Gigeoju)
- Le silence du corps
- Les journées de la PEUR
- Négatives
- Négativité et pensée positive
- Notre peur la plus profonde
- Perspective avant argument
- Quand l'émotion fait mouche
- Violence vs Yoga
- Vivre "LIBRE" ?