☯ Siddharameshwar Maharaj ou la Voie de l’oiseau
Page créée le 30 mars 2021
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La Voie de l’oiseau, une approche spirituelle à part
Siddharameshwar Maharaj (Siddheshmappa) est né en août 1888 dans un petit village nommé Pathri, en Inde.
Six jours après sa naissance, sa grand-mère fait un rêve dans lequel Siddheshwar, une importante divinité indienne, lui apparait pour lui dire que le garçon venant de naître n’est autre que sa réincarnation.
Lui demandant de le nommer d’après son nom, l’apparition s’en va en ajoutant qu’un jour le garçon deviendrait un grand saint.
Réceptive à la vision de la grand-mère, la famille prénomme l’enfant Siddheshmappa.
« [...] pour certains la vie est un appel permanent à l’éveil. Cet "éveil" 1, symbole de la compréhension que le monde formulé par les organes de perception, allant des sens au mental en passant par l’intellect et l’affect, est une illusion. Toute connaissance, intuition, jusqu’au moindre mécanisme de pensée emprunté, lorsqu’ils ne sont pas erronés, proviennent d’une seule et même source. Trouver son origine est synonyme d’une discrimination permanente entre Réalité et illusion. Tout découle naturellement de cette compréhension, qui, s’épanouissant souterrainement, demande au chercheur vigilant d’abandonner dogmes et certitudes, croyances et limitations. À ce stade, avoir la modestie de comprendre que, quel que soit notre âge, nous sommes tous des enfants devant l’immensité de la connaissance universelle. Et, rendus humbles par l’acceptation de notre naïveté, capables d’oublier aussi vite que nous apprenons, prenant soin de rester vierges des interprétations passées, ne plus espérer quoi que ce soit. Neti, Neti, Neti, projette l’immensité de la manifestation au point de non retour, ni ceci, ni cela. Selon l’enseignement spirituel d’une des voies les plus abruptes de l’Hindouisme, comprendre la manifestation du monde c’est comprendre que c’est une illusion prenant racine dans la réalité, dont nous sommes à la fois l’auteur et l’interprète. Uniquement destinée à déloger la première, elle se doit d’être jetée après utilisation. |
Personnellement, après avoir étudié plus ou moins assidument psychologie, relaxation, hypnose, Ancien et Nouveau Testament, Zohar, Tao, Coran, Bhagavad-Gîtâ, Livre des morts, Yoga, tantrisme, Upanishads, spiritualisme occidental et chamanisme, après m’être intéressé de près à des arts divinatoires comme le Tarot ou le Yi Jing, avoir lu, écouté, vu des Satsang [= question / réponse] de Ramana Maharshi, Krishnamurti… il n’y a qu’un enseignement qui m’ait semblé aussi direct et absolu. |
Vivant, allant jusqu’à repousser les limites de sa tradition tout en l’englobant, à mon sens, c’est le plus beau fleuron des approches de la connaissance universelle, fixant un nouveau point ultime au-delà du Tout et en deçà de la création. |
Cependant, puisque dans l’esprit de beaucoup lorsqu’il est question de la réalisation du Soi, un totem mental affichant une croyance primitive faisant appel à des repères fallacieux, je vous invite à vous en faire une toute nouvelle idée, votre idée. |
Une réflexion pouvant constituer pour certains les prémices d’un axe témoignant des limites de la conception mentale. |
C’est donc le cœur léger que je vous invite à une présentation de l’Advaïta-Vedânta, révélé par l’étude des Navnath 2 et la grâce de Maharaj 3. |
Une voie transcendée elle-même par "le plus méconnu des grands maîtres spirituels de notre époque", Sidhharamesvar Maharaj, dont l’honnêteté de la recherche a donné lieu à un enseignement direct, offrant indifféremment les clés du spirituel à tous. |
Prolongeant ainsi la voie millénaire de la méditation transcendantale par la connaissance du Soi. |
Donnant par la même occasion des ailes à la fourmi 4, lui permettant de devenir oiseau [...] » Jean-Baptiste Loin Lettre du mardi 30 mars 2021 |
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Notes
1. Voir
L'esprit d'éveil d'aspiration (Approfondir)
Yoga tibétain : le corps, véhicule vers l'Éveil (Les couleurs du Yoga)
2. Les Navanath, également orthographiés "Navnatha" ou "Nao Nath" dans les langues vernaculaires, sont les neuf saints, maîtres ou Naths sur lesquels repose le Navnath Sampradaya, la lignée des neuf gourous. Ils sont adorés collectivement et individuellement (Wikipédia anglais)
3. Ou Mahārāja, du sanskrit महाराज mahārāja, "grand" (mahā) "roi" (rāja) - pour une femme on dit "maharani". Titre qui, dans l'Inde, servit à désigner les rois et les empereurs dès l'époque des Kushana (IIe siècle). Le "Nouveau Larousse illustré" distingue : mahârâdjas (dieux inférieurs du bouddhisme) et maharajah, maharadjah (titre de rois) - Voir CNRTL
4. À 16 ans, bien que trop jeune pour travailler, Siddharameshwar Maharaj est comptable dans une grosse firme indienne. C'est à cette époque qu'il rencontre son maître, Shri Bhausaheb Maharaj, qui enseignait la méditation à ses disciples dans un ashram situé à deux pas de son lieu de travail. Bhausaheb Maharaj était l’un des gardiens réputés d’une discipline spirituelle fort subtile, nommée en indien Pipilika Marg, ou la voie de la fourmi, un long processus visant à atteindre la Réalité Finale par la méditation transcendantale et l’ascèse.
Bien que contemporain et moins renommé que Ramana Maharshi ou Sai Baba, l’efficacité de l'approche de Siddharameshwar Maharaj a de quoi surprendre.
L'un de ses disciple, Ranjit Maharaj affirmait :
"Mon maître était si impressionnant qu’à son contact toute personne ne pouvait repartir sans être touchée… Je l’ai vu et il m’a conquis".
Un autre disciple, Nisargadatta, comme son Maître, disait et définissait avec des mots crus et incisifs ce que l’ego ne veut ni voir ni entendre. Lui poser une question, c’était accepter implicitement le défi d’en réaliser la réponse.
Mais, tout comme son condisciple Ranjit Maharaj, son immersion dans l’État sans état était telle que l’enseignement de son Maître devenait le prolongement de leur propre expérience, utilisant des expressions les caractérisant sans pour autant conditionner ou définir leurs discours.
Le cheminement de la Voie
Shri Bhausaheb Maharaj, Shri Bhausaheb Maharaj était l’un des gardiens réputés d’une discipline spirituelle fort subtile, Pipilika Marg ou la Voie de la Fourmi, un long processus visant à atteindre la Réalité Finale par la méditation transcendantale 1 et l’ascèse 2. Après quatre années partagées entre son travail et l’étude de la méditation, à partir de 1918, Siddheshmappa renonce au monde et rejoint ses condisciples pour propager avec eux l’enseignement de leur Maître Shri Bhausaheb Maharaj. ---------- 1. Voir chinmaya (sanskrit) 2. Voir aussi sâdhanâ (sanskrit) |
... et au-delà
Mais, dès 1920, soit deux ans plus tard, son chemin spirituel laisse entrevoir à Siddheshmappa la possibilité d’aller au-delà de la voie de la méditation en parcourant, grâce à l’esprit, le chemin réunissant le méditant à l’Ultime Réalité.
Néanmoins ses condisciples ne l’entendent pas de cette oreille, affirmant que leur Maître Shri Bhausaheb Maharaj ne leur avait jamais rien enseigné de tel.
Emprunter un sentier vierge sans risquer de se perdre
Siddheshmappa insiste un temps, leur proposant malgré tout d’explorer cette nouvelle voie pour dépasser ensemble, pour la gloire de leur Maître, les limites de l’enseignement de ce dernier.
À la suite de la fermeté de leur refus il décide de cheminer seul sur ce sentier inexploré. Il commence par la méditation, qui, selon certains, n’aurait pas été interrompue un seul instant pendant neuf longs mois.
Juste avant cela, il disait :
« J’atteindrai la Réalité, même au prix de ma vie. »
Puisque son intuition lui a permis d’entrevoir un état de conscience méconnu de tous, Siddheshmappa utilise l’enseignement de son Maître Shri Bhausaheb Maharaj, à savoir la méditation, qu’il relie progressivement au pouvoir de la réflexion, pour devenir le premier de sa lignée atteignant Para Braman ou la Réalité Absolue.
Simultanément il avait atteint la connaissance ultime, réalisé l’Unité du Soi et l’Illusion de la manifestation.
Le point Zéro, où l’ego, mis en lumière et vaincu par la connaissance accepte sa dissolution permanente dans l’océan de la conscience.
L’État sans état
Des années plus tard, un des disciples qu’il avait guidés vers cette même Libération définira cette réalisation comme : « l’État sans état ».
C’est ainsi que Siddheshmappa devint Siddharameshwar Maharaj et enseigna une toute nouvelle voie baptisée la Voie de l’Oiseau ou Vihangam marg.
Selon lui, il suffirait d’entendre et de pratiquer les enseignements du Maître en s’y consacrant sans réserve, pour, aussi facilement qu’un oiseau vole d’un arbre à l’autre, atteindre la Réalité Finale. L’ignorance étant survenue par l’apparition des pensées, en absorbant ces dernières dans la Réalité elles rejoignent la conscience du Soi.
Pour un Occidental il est difficile de se représenter la dimension d’une telle approche au sein de l’Hindouisme classique.
À titre de comparaison il pourrait être approprié de citer l’arrivée du Nouveau Testament face à l’Ancien. Un peu comme si le Christ, après avoir chassé les commerçants du temple de son père, avait tenu tête aux autorités religieuses de Jérusalem en assurant qu’ils prêchaient le faux.
Ainsi Siddharameshwar Maharaj donna tout d’abord la connaissance de la réalité ultime à ses disciples, puis leur demanda de renoncer, et enfin, de renoncer à l’idée même du renoncement. Les invitant à retourner dans le monde pour ne revenir à ses côtés que lorsqu’ils auraient trouvé.
Lors de ses Satsangs, terme utilisé pour désigner l’enseignement traditionnel indien prodigué oralement de maître à élève, il utilisait un langage simple, direct et empreint de logique, n’hésitant pas à donner des exemples pratiques issus du quotidien.
Cet amour inconditionnel de Dieu, résonnant instantanément dans les cœurs nourrissant inconsciemment la flamme d’une "ré-union" avec le Soi, est une expérience tout à fait incomparable. La simple présence d’un maître réalisé est susceptible de laisser un souvenir surréaliste à l’ego, marquant la conscience d’un repère indéfini semblant aussi ultime que familier.
Ayant relativement peu de disciples en comparaison à d’autres Maîtres devenus des stars en Occident, à son contact de nombreuses âmes retrouveront rapidement le chemin de leur véritable nature.
Deux d’entre eux en particulier vont successivement perpétuer l’enseignement de Siddharameshwar Maharaj avec une telle dévotion, qu’aucune discontinuité notable n’interfèrera dans l’un ou l’autre des discours : Ranjit Maharaj et Nisargadatta. D’une seule et même voix ils dévoilent les fondements d’une discipline restée hermétique en Inde, aux Indiens, mais aussi à des Occidentaux avides de connaissances.
Extraits (sauf la Lettre) de : La voie de l’oiseau (Réponses Bio) [archive]
Propos de Siddharameshwar Maharaj
À propos du Soi (10 juin 1929) "En tant que disciple, vous déclarez avoir la connaissance. Mais en fait, vous êtes seulement conscient de la connaissance."
Faites ce que vous dites (14 juin 1929) "L’impulsion de la conscience vous attire vers les objets extérieurs, mais si vous comprenez que tout est faux, vous êtes en paix comme vous pouvez l’être dans le sommeil profond. Quand vous dormez, vous congédiez le monde visible et vous oubliez tout ! Vous devez faire la même chose à l’état de veille car c’est seulement ainsi que vous pourrez atteindre la connaissance."
La compréhension mène à l'illusion originelle (10 décembre 1999 1ère partie) "Parfois, durant votre sommeil, une pensée s’élève, puis vous retombez dans le sommeil profond. Vous n’êtes pas parvenu à développer un rêve, c’est là ce qu’on appelle Vidyaman maya. La connaissance a surgi mais vous ne lui avez pas permis de se développer."
La compréhension mène à l'illusion originelle (08 janvier 1999 2ème partie) "Ramdas a écrit un court chapitre dans le Dasbodh, où il dit que tant que vous ne connaissez pas le roi, vous êtes à tout moment susceptible d’être arrêté. Tant que vous ne connaissez pas le roi, vous ne pouvez pas être heureux, vous êtes à la merci de tout le monde et vous devenez comme tout le monde, vous pensez que vous devez absolument faire quelque chose. Mais que se passera-t-il si vous ne faites rien ? Rien. Que peut-il vous arriver quand vous dormez ? C’est quand vous vous réveillez que les problèmes du monde vous submergent."
Le mental doit se retourner (22 avril 1918) “Voici un autre exemple : dans une famille, une femme a de nombreux noms selon ses liens avec les autres membres de la maisonnée. Certains appelleront cette forme faite de chair et de sang 'mère' d’autres 'ma fille, ma tante', etc., un autre encore l’appellera 'ma femme'. On donne à ce qui n’existe pas de nombreux titres et l’utilisation de ces noms établit les relations. L’attitude de cette femme sera différente en fonction de ces liens imaginaires. Tout ceci est le produit de l’imagination.”
Le mental parle au mental (Manacheshlok -versets 151 à 162-) Samartha Ramdas. Au bout d’une quête sincère et prolongée enfin elle se révèle Après une exacte et constante instruction le mental s’illumine Mais sans la compagnie assidue des saints rien n’est possible Une ferme détermination et un amour profond sont requis [-151-]...
Rien n'existe... mais vous existez (12 janvier 2000) "Quand vous venez à moi avec le désir dʼatteindre le vrai bonheur, vous êtes vous même, mais finalement vous vous laissez abuser par ce qui nʼest pas. Quand vous choisissez de venir ici, vous devez oublier le monde. Dans la vie de tous les jours, vous pouvez continuez à jouer votre rôle, pas de problème. Dans une pièce de théâtre, vous jouez un rôle, mais cela ne signifie pas que vous êtes le personnage que vous incarnez [...] Peu importe lʼétendue de votre savoir [...] vous ne savez rien car vous êtes en vérité au-delà de la connaissance et de lʼignorance. Quand vous rêvez durant votre sommeil, vous oubliez complètement qui vous êtes pour devenir quelquʼun dʼautre. Considérez-vous ce rêve comme étant vrai ?"
Rien n'existe... mais vous existez (2ème partie) "Ce nʼest ni facile, ni difficile. Ce que mon propre maître mʼa donné, vous pouvez lʼobtenir sans rien faire. Ne faites rien, oubliez-vous ! Vous dites : 'Jʼexiste', jʼaffirme : 'Vous nʼexistez pas !' Si vous nʼexistez pas, qui parle ? Moi-même, je ne parle pas ; je suis un menteur purement et simplement. Le corps est un imposteur. Quand vous allez au cinéma, un petit panonceau vous indique la direction des toilettes. Si vous dites : 'Non, cʼest ici même que je veux uriner', personne ne viendra vous apporter lʼurinoir. Pareillement, le maître vous donne la bonne direction alors que vous attendez quʼon vous apporte la réalité sur un plateau. Allez dʼabord sur place et vous atteindrez votre destination."
Si la colère surgit, giflez-la ! (15 février 1999) "L’énergie c’est le pouvoir et petit à petit il s’accroît. Si vous comprenez que ce pouvoir est vous-même, alors vous saurez l’utiliser, de la même façon que vous utilisez votre main pour prendre ou pour donner..."
Tout le monde est moi-même (08 janvier 1999) "– Comment se conduire avec les autres ? Si je suis vraiment moi-même, cela signifie que je suis en dehors du monde, que je ne suis pas 'dans' le monde et tout ce que je pourrai dire ne sera pas compris des autres. Je serai donc coupé de toutes relations. Quelle attitude adopter alors face aux autres ? – L’aspirant doit se conduire selon la compréhension que le maître lui a donnée, et cette compréhension est que je suis en tout et partout, alors il n’y a pas d’attitude à adopter ou à ne pas adopter. Vous n’êtes pas en dehors du ciel. Un oiseau peut-il dire : 'je veux être en dehors du ciel ?' Non. Cela est impossible. De même, après la compréhension, vous devez rester et vivre avec les autres. Rester avec eux signifie comprendre et vivre selon cette compréhension. Les autres ne comprennent pas parce qu’ils sont dans l’ignorance et agissent en fonction de cette ignorance, mais si vous comprenez vraiment, vous savez naturellement comment vous conduire avec eux, la question ne se pose pas..."
Tout le monde est moi-même (2ème partie) "Qu’est-ce que Dieu peut faire à celui qui ne croit pas en lui ? Vous pouvez bien lui dire : 'Dieu est si puissant, un jour tu comprendras !', mais il vous répond : 'Non, car je ne veux pas le connaître'. Ce pouvoir ne peut donc pas l’atteindre même si fondamentalement, il est Lui. L’ignorance le pousse à dire qu’il ne croit pas en l’existence de Dieu et tout ce que vous pouvez lui rétorquer c’est que celui-là même qui s’évertue à nier Dieu est Dieu. Rien en fait ne peut vous contraindre ni vous aliéner. Certains parlent volontiers de destinée, mais ce qui n’existe pas a-t-il une destinée ? ..."
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