DANSE Farandole (Provence)

Page créée le 31 décembre 2023

Farandole

La danse la plus caractéristique et la plus représentative de la Provence

De l’occitan farandoulo^1,2 – ce terme proviendrait ultimement du mot *faranda ("jongleurs et amuseurs se promenant"), de *fara ("groupe")³ – la farandole est une danse provençale rythmée, exécutée par une file de danseurs se tenant par la main⁴; l'expression désigne aussi la file des danseurs elle-même.

8° Festival Folklorique Régional de Pont de Salars (Aveyron)

[https://www.youtube.com/watch?v=fEFNV2-w644] 26 septembre 2009

Pour info, au figuré, un ensemble, une suite (de choses) : Une farandole de couleurs.

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Notes

1. Encyclopédie des gens du monde "Farandole" Volume 10, page 508, 1838

2. apparenté au catalan farandula, à l'italien faràndola, etc.

3. La farandoulo / La farandole [it] "Ftimologia della parola FARANDOULO" [archive sans media] (Balli Folk)

4. Les rondes font partie des danses qui existaient déjà dans toute la Méditerranée antique. Une autre ronde venue du Brésil et originaire du Portugal : La Ciranda.

Voir plus bas La farandole moderne

Source principale Wiktionnaire

La farandole est une danse traditionnelle, considérée comme la plus ancienne des danses¹. Si son nom n'est attesté qu'à partir du XVIII^e siècle, elle a été représentée depuis la préhistoire par des gravures rupestres puis au cours de l'Antiquité sur des céramiques ou des fresques. Danse des rites agraires, elle était à la fois une danse de la vie et de la mort. Elle a intéressé les plus grands compositeurs tels Georges Bizet, Piotr Ilitch Tchaïkovski, Charles Gounod, Vincent d'Indy, Henri Casadesus, Darius Milhaud².

Galoubets et tambourins

Aujourd'hui en Provence, elle est dansée sur les airs joués par les tambourinaires³ qui l'accompagnent de leurs galoubets³ et de leurs tambourins³. Sa popularité l'a fait entrer dans la crèche et elle est l'un des éléments les plus caractéristiques de la tradition provençale.

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Notes

1. Voir La Marche, parmi les plus anciennes danses (Des marches et des pas)

2. Par exemple, dans la suite L'Arlésienne de Georges Bizet, le dernier tableau (Suite n^o 2, IV) est une farandole. Dans le ballet La Belle au bois dormant de Piotr Ilitch Tchaïkovski, les dames proposent une farandole dans la scène IV du deuxième acte, Charles Gounod (Mireille)... Théodore Dubois (La Farandole), Gabriel Pierné, Claude Delvincourt ont aussi écrit des farandoles.

3. Un tambourinaire (ou tamborinaire en norme classique) est, en Provence, un joueur de galoubet et tambourin^a. On prononce [tambourinaïre] et ce nom peut être écrit ainsi en français. Une femme qui joue du tambourin est une tambourinairis ou tambourinarello.

^a flabiol et tamborí pour la Sardane (voir Cobla)

Arles et Avignon sont les deux foyers principaux de la farandole en Provence. Mais tout le midi de la France connaît la farandole (Encyclopædia Universalis).
Elle fut même pratiquée en Catalogne selon cette note : "Dansa popular que hom practica actualment encara a Provença, però que també havia estat ballada a Catalunya" (Farandoulo, étymologie occitane).

L'étymologie de farandole

Elle reste incertaine. Il a été suggéré que "farandole" puisse être une altération du provençal barandello, à partir de brandello (dérivé de branda : remuer), sous l'influence de dérivés occitans tels que flandina (cajoler) et flandrina (lambiner)¹^,². Pourtant cette hypothèse est peu convaincante car elle se heurte au fait que b(a)randello est définie comme étant une farandole languedocienne¹.

Farandole se disant farandoulo, en provençal et farandola, en catalan¹, il a été proposé que ce mot tirerait son origine de l'espagnol farándula (métier de comédien, troupe de comédiens ambulants). Origine aussi incertaine que problématique puisque ce terme supposerait un primitif faranda. Il n'existe pas en espagnol mais en allemand où fahrende, désigne des gens qui voyagent et des comédiens ambulants.

Carte postale de la farandole de Valère Bernard dédicacée par Frédéric Mistral

Si Jean Joseph Marius Diouloufet (1816) et Frédéric Mistral (1878) ont tous deux relié la farandole à la civilisation grecque, ils ne disent rien sur son étymologie³. Simon-Jude Honnorat, quant à lui indique que ce nom signifie que "les danseurs sont en quelque sorte attachés l'un à l'autre", ce qui n'est pas une étymologie.

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Notes

1. Farandoulo, étymologie occitane [archive]

2. Étymologie de farandole [archive] CNRTL

3. Farandole [archive] sur Encyclopædia Universalis.

Voir (pour une suite) Dénomination et caractérisation de la danse (Wikipédia)

Voir aussi

Cirque (jeux)

Sur les routes, avec sa troupe (Molière 1622-1673)

La Danse de la vie

La danse de la vie est représentée dès l'âge du Bronze et dans les fresques des tombeaux des pharaons, ainsi que sur tout le pourtour méditerranéen sur les bas-reliefs et des poteries antiques². L'Antiquité grecque et crétoise la désignait sous le nom de "danse des grues" ou géranos¹. Dans ces représentations, elle prend toujours l'aspect d'une "frise décorative de danseurs avançant en front ouvert et se tenant les mains". Elle était primitivement exécutée en cercle autour d'un feu puis se finissait en spirale pour appeler au retour du soleil².

Dans la danse, le cercle symbolise le cours de la vie et synthétise toutes les oppositions : le début et la fin, la naissance et la mort, l'origine et l'éternité. Ce cercle forme le serpent qui se mort la queue, l'Ouroboros³.

La farandole, qui unit et oppose le thème de la mort et de la renaissance, a hérité cette symbolique de la mythologie grecque reproduite sur le vase François : "Au sortir du labyrinthe, Thésée, ivre de joie d'avoir triomphé du Minotaure et d'être sorti vivant du labyrinthe, se lance avec ses compagnons dans une danse ondulante et sinueuse qui entend reproduire les méandres du dédale souterrain et ceux de sa lutte contre le monstre^"⁴.

Danse des grues sur le vase François du Musée archéologique national (Florence)

Fabienne Potherat a analysé cette danse à travers une œuvre de Matisse : "Ce sont encore ces bacchanales que nous retrouvons chez Matisse dans cette ronde envolée au-dessus de la colline". Expliquant que c'est cette même serpentine que Matisse chante et peint dans La Joie de vivre et La Danse après avoir vu une farandole au Moulin de la Galette⁵. elle souligne "Il pose du vert, du bleu, du rose, en à-plat, qui sont les couleurs de la Provence dit-il, de la nature, fond commun universel. Il pose sa propre voix comme rythme des couleurs et comme volume à la couleur. Il chante l'air de la farandole, le pinceau danse avec la peinture comme en résonance à son chant. Une forme est née : la danse"⁶.

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Notes

1. Farandole [archive] sur Encyclopædia Universalis.

2. La farandole : danse traditionnelle typique de la Provence

3. Laurent Sébastien Fournier "La fête au présent : mutations des fêtes au sein des loisirs" [archive] p.363

Voir aussi ANANTA-nāga – Crocodile et les Torsions

Lien externe La Fête, quelques éléments de compréhension ([Books of] Dante) PDF

4. Les danses provençales [archive]

5. Voir Paris : Les artistes au Moulin de la Galette - XVIIIe (Paris la douce) [archive]

1922 Le Moulin de la Galette, Montmartre - Maurice Utrillo (1883-1955)

6. Fabienne Potherat Les corps festifs en art (Université Paul Valéry Montpellier)

La Farandole de la mort

La période du bas Moyen Âge, plus que toute autre, fut celle où les questions sur les suites de la mort furent les plus cruciales. Qui ira au paradis, qui ira en enfer ? Éternelle question à laquelle il fut donné une réponse par l'intermédiaire de la danse macabre, puissants et misérables tous sont égaux devant la mort¹. Plus que le Dit des trois morts et des trois vifs, c'est sans doute l'Office des Ténèbres, du vendredi saint, où juste avant que la dernière bougie, celle du Christ, ne soit masquée d’un dais noir, la foule réagissait en tapant des pieds pour ponctuer le Miserere.

En catalan, ce piétinement, prémices de la danse, s'appelle le patrica-patroca (ferveur populaire et méditation)² ou des récits comme le Vado Mori ("je me prépare à mourir"), poème en latin d'origine française remontant au XIII^e siècle qui en sont à l'origine¹.

Après la Peste noire (milieu du XIV^e siècle)*, ce mal contagieux qui tua des centaines de milliers de gens dans toute l’Europe, apparurent de nombreux rites d'exorcisme qui visaient à apprivoiser la camarde, sinon à la faire reculer. Dans ces rituels la musique et la danse jouèrent les premiers rôles². Mais puisque nul ne pouvait y réchapper, des fresques murales décrivirent cette réalité.

Dès le début du XV^e siècle, des peintures sur le thème de la danse macabre s'étalèrent sur les murs extérieurs des cloîtres, à l'intérieur des églises, sur les charniers et les ossuaires. La première danse macabre a été peinte à Paris en 1424 au Cimetière des Innocents¹ et marque le début d'une farandole infernale qui va se répandre dans toute l'Europe².

Dans cette farandole alternent squelettes et vivants, disposés dans un ordre hiérarchique décroissant¹. Ce sont le pape, l'empereur, le cardinal, le roi, le patriarche, le connétable, l'archevêque, le chevalier, l'évêque, l'écuyer, l'abbé, le bailli, l'astrologue, le bourgeois, le chartreux, le sergent, le médecin, la femme, l'usurier et le pauvre³. Le nombre des personnages et la composition de la danse dépendent du lieu de création⁴.

Danse macabre de Tallinn

La Mort, le plus souvent représentée avec un instrument de musique, entraîne tout le monde dans la danse en ne regardant ni le rang, ni les richesses, ni le sexe, ni l'âge¹. En dessous ou au-dessus de l'illustration sont peints des vers par lesquels s'adresse la Mort à sa victime, souvent d'un ton menaçant et accusateur, parfois sarcastique et empreint de cynisme. Puis suit la supplique de l'Homme, plein de remords et de désespoir, mendiant la pitié⁴. Espoir déçu face à des squelettes lancés dans une course effrénée⁵, prenant le plus souvent la forme d'une farandole⁴.

C'est parfaitement explicite lorsqu'il y a juxtaposition continue des corps agrippés par les mains des squelettes qui les saisissent par le coude ou la main, transformant une simple procession ou une ronde ouverte en une véritable chorégraphie⁵.

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Notes

1. Les fresques macabres [archive] revue Acropolis

2. La danse macabre [PDF]

3. Mathieu Dhennin La Danse macabre [archive]

4. Danse macabre : la mort dans l'art [archive]

5. Les danses macabres : ronde, farandole ou procession ? [archive]

* La première “grande maladie épidémique” de notre pays a été la peste. Celles de 1350 et de 1720 ont été particulièrement meurtrières. (1720 Épidémie de peste à Marseille)

La Farandole des santons de Provence

Capture d’écran de la page de Wikipédia

Les santons dansant la farandole sont un des classiques de la crèche provençale. Les farandoleurs forment une longue file qui se déplace en serpentant. Les tours et détours de cette danse dans la crèche doivent figurer un labyrinthe¹.

Les farandoleuses sont soit vêtues en arlésienne, soit en provençale ou comtadine avec les différentes nuances vestimentaires qu'apporte le santonnier local^1,2.

Les farandoleurs et le tambourinaire portent un costume quasi identique composé d'un pantalon blanc serré par une taiole, ceinture typique de Provence constituée par une bande de tissu en laine rouge, et d'une chemise blanche nouée au col par un cordon¹^,2,³^..

Comme le tambourinaire est un notable, il a revêtu son costume le plus élégant, porte un chapeau de feutre à larges bords, et sous sa veste de velours apparaît son gilet brodé sur sa chemise blanche³. Surnommé "Guillaume", par tradition, c'est lui qui mène la farandole avec son tambourin et son galoubet. Cette scène est l'un des sujets majeurs de la crèche provençale à laquelle elle est indispensable⁴.

La marcha di rèi - La marcho di rei (Nadau Provençau) Chant de Noël Provençal

[https://www.youtube.com/watch?v=ZDp3KVGnQtA] 27 décembre 2016 – Provence Occitane

Vu dans ♪ Marche des Rois mages ♪

Paroles en provençal et en PDF

Paroles en français ⊗ Rois Mages ou Rois Mages, Épiphanie...

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Notes

1. La farandole de la crèche [archive] (santons-et-creches-de-provence.over-blog.fr)

2. Voir ces articles de Wikipédia : Costume provençal, Costume d'Arles et Costume comtadin

3. Le Tambourinaire (lacrechedefloflo.free.fr)

4. Le tambourinaïre [archive] (santons-et-creches-de-provence.over-blog.fr)

Autour de la crèche

À Toulon, la crèche provençale, c’est aussi un spectacle (23/12/2023) [archive]

La crèche au fil des siècles (Croire.com) [archive plus récente]

La crèche de Noël (Hérodote.net)

Quelle est l'origine de la crèche ? (L'Internaute)

Divers

Noël en Provence : la tradition des treize desserts (24/12/2023) [archive]

Rois Mages...

La farandole moderne

La farandole peut être chantée, mais elle est ordinairement accompagnée, en Provence, de galoubets et de tambourins¹. Le XIX^e siècle marque l'apogée des tambourinaires puisqu'on les retrouve indifféremment à l'Opéra de Paris, dans les balèti ou menant les farandoles².

Ce ne fut pas toujours le cas puisque quelques auteurs comme Hector Rivoire, en 1842, indiquent d'autres instruments : "Dans un très petit nombre de communes des arrondissements de Nimes et d'Uzès et en traversant les cantons de Saint-Quentin, d'Uzès, de Montaren, de Blauzac et de Lussan toute la musique se compose d'un hautbois et d'un très petit tambour qui sert d'accompagnement Dans quelques-unes de ces localités la danse y est appelée branle ou barandelle. C'est une sorte de valse russe extrêmement précipitée dans laquelle on tourne continuellement sur un même plan"³^,⁴. Quant à Chateaubriand, il notait, en 1848, dans le tome IV de ses Méloires, à la page 397 : "Deux ou trois groupes dépêchaient en tumulte une farandole au son d'un méchant violon"⁵.

Farandole accompagnée à la cornemuse

Mais les grands rivaux des tambourinaires, dans les festivités populaires, furent les joueurs de cornemuse. Pourtant cette dernière, cantonnée, en tant qu’instrument diatonique⁶, à ne jouer le plus souvent que des morceaux réécrits, se vit supplanter au milieu du XIX^e siècle par le galoubet-tambourin qui joue dans la gamme chromatique⁶ et interprète des partitions écrites².

Ce qui fait que l'accompagnement musical actuel est toujours réalisé par un ou des tambourinaires. Les danseurs se donnent la main pour former une chaîne ouverte errante et marquent chaque temps par des sautillements. Le meneur (ou la meneuse) guide la chaîne en dessinant une forme de serpent. Son rôle est d'articuler la farandole, danse des rites agraires, en ses deux grands thèmes : celui de la spirale – dit encore escargot ou labyrinthe – et celui du passage sous la voûte – dit du serpent⁷.

Lou Dalfin San Magno – Bandits au Santuario de San Magno

[https://www.youtube.com/watch?v=4TJxV82_VDU] 24 août 2007

Toujours en Provence, d'autres danses apparentées à la farandole étaient pratiquées sur des pas plus libres : le brandi, la mauresque (ou mourisca), les passa cariera - passe-rues, cf. les passa calle espagnoles et la passacaille. Elle a donné naissance à certaines danses médiévales aux pas répétés, comme les caroles des XIII^e et XIV^e siècles, les branles des XV^e et XVI^e siècles².

Voir plus haut

Voir aussi Petite histoire du quadrille et ses dérivés (Tour du Brésil de la danse folklorique)

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Notes

1. Encyclopædia Universalis.

2. Tambourin et galoubet contre cornemuse

3. Farandoulo, étymologie occitane

4. Hector Rivoire, Statistique du département du Gard, t.1, Nîmes 1842, p.343

5. Définition de farandole CNRTL

6. Diatonique (adjectif). En musique, qui procède par les tons naturels de la gamme. L'échelle diatonique est la gamme de sept sons do, ré, mi, fa, sol, la, si. Les sept notes de la gamme sont séparées entre elles par des intervalles qu'on appelle tons et demi-tons diatoniques.
Chromatique (adjectif). En musique, qui est composé d'une suite de demi-tons (opposé à diatonique).

7. La farandole : danse traditionnelle typique de la Provence

Quelques autres danses provençales

Source Les danses provençales [archive]

Les danses provençales ont un caractère profondément symbolique lié à des rites agraires universels. La plupart d'entre elles sont attachées au cycle des saisons, à l'harmonie cosmique, au rôle des hommes et des femmes dans la préservation de cet équilibre.

La danse des cordelles est associée à l'arbre cosmique, elle représente la vie qui se tisse autour de l'axe du monde reliant le Ciel à la Terre. La danse s'effectue autour d'un mât au sommet duquel sont attachés des rubans multicolores, que les danseurs tressent puis détressent. C'est une danse de fertilité reliée à la tradition des arbres de Mai. Elle est devenue tardivement la danse du métier de cordelier, fabricant de lacets, de cordes et de rubans.
Voir Les Origines de l'Arbre de Mai [archive] (Christian Mandon)
Dans le langage populaire, la fricassée est une grosse embrassade. Ici, c'est une danse qui représente la lutte de l'hiver et du printemps, les jeux et les luttes destinés à stimuler les forces de régénération.
La danse des épées est issue des rites de régénération de la puissance vitale, qu'elle soit humaine, animale ou végétale. Elle consiste en un assaut des danseurs simulant un combat pour gagner les faveurs de leurs cavalières. Chaque cavalier présente une orange, ou selon la saison, un bouquet. Les hommes croisent le fer en cadence, puis présentent l'orange aux dames, se croisant à plusieurs reprises sur un air sautillant. L'orange est souvent utilisée comme le symbole du soleil pour appeler la fertilité et l'abondance dispensées par l'astre-roi.

Voir Sword Dance, Danse de l'épée (Écosse)

Voir aussi Série À propos d'Arts Martiaux notamment Escrime

Lei Farandoulaire Sestian Aix-en-Provence

"Nous sommes un groupe d'art et de tradition provençale de la ville d'Aix-en-Provence. Venez découvrir notre association sur www.farandoulaire-sestian.fr"

– FarandoulaireSestian Aix